bonjour
je m'adresse au pharmacien du site afin d'avoir un avis concernant les 11 vaccins obligatoires a partir de 2018
j'ai 2 enfants en bas age..et je me fais du soucis au vu de la polemique concernant ces nouveaux vaccins:
presence d'aluminium et autres adjuvants
le nombre élevé de vaccins
j' ai lu qu'il pourrait y avoir des problemes de santé apres les injections de ces vaccins: myo fascite a macrophage, allergies,autisme,sclerose en plaques,voire meme des deces..
j' avoue que ca fait peur!
la moitié de la population francaise serait hostile a ces nouveaux vaccins d'apres ce que j' ai lu!
j' aimerai avoir des réponses precises, et serieuses, loin des commentaires journalistiques vrais-faux que l' on peut lire ici ou la...
d'avance, merci des temoignages également
vaccins obligatoires en 2018
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Re: vaccins obligatoires en 2018
bonjour!
c'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui vous répond
voici, pour alimenter le débat, et à titre d'information, le compte rendu du congres de l' association AIMSIB
Samedi 13 Janvier 2018, a eu lieu le 2e Congrès de l’association AIMSIB à Lyon.
Cette association réunit des médecins, des scientifiques et des citoyens libres.
Lors de ce congrès, les médecins et les experts de l’AIMSIB ont présenté leurs travaux en cours. Deux grands sujets ont été évoqués : les vaccins et le cholestérol.
J’ai eu du reste, l’occasion de présenter succinctement l’action de groupe coordonnée par l’IPSN (et notre avocate, Me Jacqueline Bergel) auprès de la Ministre de la santé sur la question de l’aluminium vaccinal.
Vaccins : il est encore possible d’en débattre
Dans la salle où nous étions réunis, tout le monde n’était pas du même avis:
• Certains s’opposent aux vaccins,
• D’autres s’inquiètent de l’aluminium,
• D’autres de la violence de la loi,
• D’autres encore du nombre de vaccins imposés aux enfants dès leur plus jeune âge,
• D’autres disaient simplement leur inquiétude...
Il y avait là une palette nuancée d’opinions libres.
Et cela fait du bien ! Cela change des articles de presse qui évoquent « la vaccination » ou « les vaccins » en général, comme si tous les vaccins étaient identiques et qu’ils soulevaient tous les mêmes questions.
Ces mêmes médias parlent aussi des « antivaccins » c’est-à-dire de toute personne qui n’est pas à 100% d’accord avec la ligne défendue par les autorités.
Comme s’il ne pouvait pas y avoir différents avis.
Comme si l’obligation vaccinale était indiscutable et qu’il n’y avait pas d’autres solutions en France que d’imposer la vaccination par la violence.
70% des Français sont vaccinés, la très grande majorité des nourrissons le sont aussi.
Sommes-nous vraiment dans une crise de la vaccination aussi grave que les autorités le prétendent ?
Les articles à répétition sur la rougeole ou la grippe, deux maladies quasi bénignes, sauf pour des personnes au système immunitaire très affaibli, sont là pour créer un climat de peur. Angoissés, les consommateurs courent se faire vacciner, ou vacciner leurs enfants.
Pour ceux qui craignent les maladies, il y a les vaccins. Mais pour ceux qui craignent les vaccins ou l’aluminium vaccinal que propose-t-on ? La prison.
Sur les réseaux sociaux, il n’est pas rare que celui ou celle qui se pose des questions, qui s’inquiète parce que ses enfants ont mal réagi à un premier vaccin, se trouve montré du doigt, moqué ou insulté. On lui dit qu’il est irresponsable.
Irresponsable, vraiment ?
Pourtant, les accidents arrivent.
Tiens, cette fois, c’est le vaccin de la Dengue qui est en cause aux Philippines. Le vaccin aggrave la maladie et crée chez certains patients de graves symptômes (vomissements, perte de cheveux, etc.). (1)
Samedi dernier, les intervenants de l’AIMSIB nous ont fait part de leurs réflexions, de leurs doutes, de leurs espoirs.
Ils étaient du reste, nombreux, à commencer par dire qu’ils n’avaient rien contre les vaccins !
Même en zone libre, il vaut mieux rester prudent…
En tout cas, il était bon de constater, qu’il existe encore malgré tout, des esprits éclairés et indépendants, dont le seul souci est de déchiffrer la vérité. Cela ne veut pas dire qu’ils aient raison. Mais ils sont crédibles. Tout commence là.
Je ne peux pas vous retranscrire l’intégralité des débats qui ont eu lieu au cours de cette journée, mais je peux vous livrer quelques points qui m’ont paru saillants.
Par ailleurs, différentes perspectives nous ont été proposées. L’un a parlé du vaccin de la grippe, l’autre de l’aluminium dans les vaccins, un autre encore de la disparition de certaines maladies comme la diphtérie (disparue avant l’apparition de la vaccination obligatoire) et Michel Georget, agrégé de biologie, a précisé les grandes bases de l’immunité.
Nous ne sommes pas tous égaux en immunité
Pour notre système immunitaire, les choses sont simples : il y a le soi. C’est nous et c’est accepté. Il y a le non soi. Cela vient de l’extérieur, il faut le détruire. Une maladie auto-immune apparaît quand le corps confond soi et non soi. Nos défenses se retournent contre nous.
L’argument principal de Michel Georget est clair : nous avons tous une immunité propre. Chacun d’entre nous est un être unique. Et il paraît inadapté de proposer des vaccins standardisés à tout le monde alors que chacun réagira très différemment.
L’immunité naturelle : le château fort !
Michel Georget a ainsi évoqué l’immunité naturelle et l’immunité adaptative.
L’immunité naturelle, c’est les mécanismes de défense du corps contre tout agresseur. Il y a d’abord les forteresses que sont la peau et les muqueuses. Elles empêchent les intrus de passer. Les muqueuses peuvent également les détruire à coup d’acides ou d’enzymes.
Si ces remparts sont passés, il y a une réaction inflammatoire. L’ennemi est dans les murs ! Interviennent alors les soldats de l’immunité qui entrent en action. Les cellules phagocytaires « phagocytent » ou capturent les intrus pour les détruire. Les cellules NK (natural killer) ou cellules tueuses naturelles détruisent tout intrus qui passe à leur portée.
Cette immunité dépend de :
• Notre héritage immunitaire : microbiote à la naissance, allaitement, alimentation dans les premières années de notre vie,
• Notre mode de vie : qualité de l’alimentation, hygiène, activité physique etc.
• La génétique.
L’immunité adaptative : place au GIGN
L’immunité adaptative est celle qui dispose d’une mémoire. Elle est spécifique. Elle s’appuie sur les cellules spécifiques, les lymphocytes B et T. On les appelle lymphocytes parce qu’ils circulent majoritairement dans la lymphe. Ils sont fabriqués par la moëlle osseuse comme toutes les cellules immunitaires.
Les lymphocytes T se distinguent des B car ils passent par le thymus. Il s’agit d’un organe situé dans la partie haute du thorax. C’est un peu l’école des lymphocytes. On le trouve chez l’enfant mais chez les adultes, il régresse avant de disparaître après 40 ans !
Les lymphocytes T sont spécialisés. Ce sont eux qui lutteront contre des maladies spécifiques.
Ce sont des globules blancs dotés d’un super bazooka pour une maladie déterminée. L’ennui, c’est qu’ils sont aveugles.
A l’inverse le lymphocyte B distingue parfaitement les ennemis. Il est capable de tous les attaquer. Mais, comparé au lymphocyte T, il n’est doté que d’un simple canif. Quand, la crise est grave. On a besoin des costauds. On fait appel au lymphocyte T.
Mais il faut le prévenir. Par un jeu complexe de récepteurs, de protéines et d’anticorps, l’immunité adaptative se met en branle. Le lymphocyte T est prévenu de l’attaque et il prend les choses en main. C’est lui qui sonne la charge, entraînant dans son sillage des lymphocytes B, prêts à suivre le « pro ».
HLA, un système de communication unique à chacun
Ce qui détermine la qualité de la réponse immunitaire, c’est l’information qui circule entre les cellules immunitaires. Cette information est déterminée par ce que l’on appelle le système HLA.
HLA vient de l’anglais : human leukocyte antigen. Les scientifiques français disent « complexe majeur d'histocompatibilité ».
Derrière ces termes complexes, se cache une réalité simple. Les molécules HLA identifient les agresseurs et préviennent les cellules immunitaires du danger.
Chaque individu dispose d’un HLA propre. C’est votre clé d’identification immunitaire qui permet à votre organisme de séparer le soi et le non soi. C’est un élément déterminant de l’immunité.
Une immunité partagée entre les groupes humains dans le monde
Le plus étonnant dans cette histoire est que l’immunité est partagée entre les groupes humains. Certains groupes humains résistent bien à la malaria, d’autres à la grippe etc.
L’humanité tout entière ne pourrait jamais disparaître à cause d’une seule maladie.
Pourquoi donc, faudrait-il que tout le monde soit vacciné de la même manière ?
La conclusion de Michel Georget est sans appel : chaque individu est unique et les réactions à la vaccination sont diverses.
La seule manière intelligente d’aborder ce sujet est d’accorder la liberté vaccinale et de proposer à ceux qui le souhaitent une vaccination personnalisée et sous contrôle.
L’alternative du gouvernement ?
La prison pour les délinquants qui n’ont pas fait vacciner leurs enfants !
Vaccin contre la grippe, halte à l’esbrouffe !
On peut toujours débattre de savoir s’il faut faire vacciner ses enfants contre certaines maladies graves, comme la poliomyélite par exemple.
Certains vous diront que la maladie a disparu avant que la vaccination ne soit rendue obligatoire, ce qui est exact.
Pour autant, il suffit de parler avec ses grands-parents ou de voir des photos d’enfants atteints de cette maladie pour être pris par le doute. Et si mon enfant développait cette maladie ? Ce serait épouvantable ! Alors, on hésite.
Mais pour la grippe, il n’y a pas d’hésitation à avoir. Ce vaccin est inefficace et les autorités passent leur temps à mentir sur son sujet.
Lors du congrès de l’AIMSIB, l’un des orateurs, Pascal Raton nous en a fait la démonstration.
Son exposé s’appuie sur les faits suivants (2):
Le Ministère de la Santé, dans une communication officielle, affirme :
« Si la mortalité attribuée à la grippe a globalement diminué au cours de ces dernières décennies, la saison grippale 2014-2015 a été marquée par une surmortalité (18 300 décès supplémentaires), dont une partie peut être attribuée à la grippe. »
L’Institut de Veille Sanitaire, lui, estime que sur l’année 2014-2015, il y a eu 900 décès de la grippe.
Une autre institution le Cépidic, qui recense les avis de décès signés par les médecins, signale 300 décès pour cause de grippe.
La grippe cause t’elle 18 000, 900 ou 300 morts, sachant que les médecins mettent parfois « grippe » lorsqu’ils ne savent pas comment expliquer le décès d’un patient ?
La vraie réponse est que personne ne sait.
On peut juste dire que la grippe ne semble pas faire plus de morts qu’avant et que le taux de vaccination des populations par rapport au nombre de décès liés à la grippe ne change rien.
C’est une vaccination inopérante.
Ce n’est pas moi qui le dit, ni même Pascal Raton. C’est la Haute Autorité de Santé. L’institution dit :
« Les dernières méta-analyses tant chez les personnes âgées que chez les professionnels de santé ne démontrent pas d’efficacité de la vaccination, ce qui est interprété à tort comme une preuve d’inefficacité ».
Autre constat aux Etats-Unis : depuis les années 80, le nombre de morts de la grippe est resté stable. Le taux de vaccination, lui, est passé de 15 à 65%.
Tout est dit.
En revanche, il faut tout de même savoir qu’il existe des effets secondaires à cette vaccination :
• Entre 1% et 1 ‰ personnes souffre de symptômes légers : vertiges, troubles du sommeil…,
• D’autres ont des allergies graves, de l’urticaire ou du prurit.
• Les plus malchanceux (1/100 000) développe un syndrome de Guillain-Barré.
C’est très rare. Mais 1/100 000, cela fait 10 sur 1 million. Il y a de quoi remplir une salle de classe tous les ans avec le nombre de personnes vaccinées en France. Pour un vaccin officiellement inefficace, c’est cher payé.
c'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui vous répond
voici, pour alimenter le débat, et à titre d'information, le compte rendu du congres de l' association AIMSIB
Samedi 13 Janvier 2018, a eu lieu le 2e Congrès de l’association AIMSIB à Lyon.
Cette association réunit des médecins, des scientifiques et des citoyens libres.
Lors de ce congrès, les médecins et les experts de l’AIMSIB ont présenté leurs travaux en cours. Deux grands sujets ont été évoqués : les vaccins et le cholestérol.
J’ai eu du reste, l’occasion de présenter succinctement l’action de groupe coordonnée par l’IPSN (et notre avocate, Me Jacqueline Bergel) auprès de la Ministre de la santé sur la question de l’aluminium vaccinal.
Vaccins : il est encore possible d’en débattre
Dans la salle où nous étions réunis, tout le monde n’était pas du même avis:
• Certains s’opposent aux vaccins,
• D’autres s’inquiètent de l’aluminium,
• D’autres de la violence de la loi,
• D’autres encore du nombre de vaccins imposés aux enfants dès leur plus jeune âge,
• D’autres disaient simplement leur inquiétude...
Il y avait là une palette nuancée d’opinions libres.
Et cela fait du bien ! Cela change des articles de presse qui évoquent « la vaccination » ou « les vaccins » en général, comme si tous les vaccins étaient identiques et qu’ils soulevaient tous les mêmes questions.
Ces mêmes médias parlent aussi des « antivaccins » c’est-à-dire de toute personne qui n’est pas à 100% d’accord avec la ligne défendue par les autorités.
Comme s’il ne pouvait pas y avoir différents avis.
Comme si l’obligation vaccinale était indiscutable et qu’il n’y avait pas d’autres solutions en France que d’imposer la vaccination par la violence.
70% des Français sont vaccinés, la très grande majorité des nourrissons le sont aussi.
Sommes-nous vraiment dans une crise de la vaccination aussi grave que les autorités le prétendent ?
Les articles à répétition sur la rougeole ou la grippe, deux maladies quasi bénignes, sauf pour des personnes au système immunitaire très affaibli, sont là pour créer un climat de peur. Angoissés, les consommateurs courent se faire vacciner, ou vacciner leurs enfants.
Pour ceux qui craignent les maladies, il y a les vaccins. Mais pour ceux qui craignent les vaccins ou l’aluminium vaccinal que propose-t-on ? La prison.
Sur les réseaux sociaux, il n’est pas rare que celui ou celle qui se pose des questions, qui s’inquiète parce que ses enfants ont mal réagi à un premier vaccin, se trouve montré du doigt, moqué ou insulté. On lui dit qu’il est irresponsable.
Irresponsable, vraiment ?
Pourtant, les accidents arrivent.
Tiens, cette fois, c’est le vaccin de la Dengue qui est en cause aux Philippines. Le vaccin aggrave la maladie et crée chez certains patients de graves symptômes (vomissements, perte de cheveux, etc.). (1)
Samedi dernier, les intervenants de l’AIMSIB nous ont fait part de leurs réflexions, de leurs doutes, de leurs espoirs.
Ils étaient du reste, nombreux, à commencer par dire qu’ils n’avaient rien contre les vaccins !
Même en zone libre, il vaut mieux rester prudent…
En tout cas, il était bon de constater, qu’il existe encore malgré tout, des esprits éclairés et indépendants, dont le seul souci est de déchiffrer la vérité. Cela ne veut pas dire qu’ils aient raison. Mais ils sont crédibles. Tout commence là.
Je ne peux pas vous retranscrire l’intégralité des débats qui ont eu lieu au cours de cette journée, mais je peux vous livrer quelques points qui m’ont paru saillants.
Par ailleurs, différentes perspectives nous ont été proposées. L’un a parlé du vaccin de la grippe, l’autre de l’aluminium dans les vaccins, un autre encore de la disparition de certaines maladies comme la diphtérie (disparue avant l’apparition de la vaccination obligatoire) et Michel Georget, agrégé de biologie, a précisé les grandes bases de l’immunité.
Nous ne sommes pas tous égaux en immunité
Pour notre système immunitaire, les choses sont simples : il y a le soi. C’est nous et c’est accepté. Il y a le non soi. Cela vient de l’extérieur, il faut le détruire. Une maladie auto-immune apparaît quand le corps confond soi et non soi. Nos défenses se retournent contre nous.
L’argument principal de Michel Georget est clair : nous avons tous une immunité propre. Chacun d’entre nous est un être unique. Et il paraît inadapté de proposer des vaccins standardisés à tout le monde alors que chacun réagira très différemment.
L’immunité naturelle : le château fort !
Michel Georget a ainsi évoqué l’immunité naturelle et l’immunité adaptative.
L’immunité naturelle, c’est les mécanismes de défense du corps contre tout agresseur. Il y a d’abord les forteresses que sont la peau et les muqueuses. Elles empêchent les intrus de passer. Les muqueuses peuvent également les détruire à coup d’acides ou d’enzymes.
Si ces remparts sont passés, il y a une réaction inflammatoire. L’ennemi est dans les murs ! Interviennent alors les soldats de l’immunité qui entrent en action. Les cellules phagocytaires « phagocytent » ou capturent les intrus pour les détruire. Les cellules NK (natural killer) ou cellules tueuses naturelles détruisent tout intrus qui passe à leur portée.
Cette immunité dépend de :
• Notre héritage immunitaire : microbiote à la naissance, allaitement, alimentation dans les premières années de notre vie,
• Notre mode de vie : qualité de l’alimentation, hygiène, activité physique etc.
• La génétique.
L’immunité adaptative : place au GIGN
L’immunité adaptative est celle qui dispose d’une mémoire. Elle est spécifique. Elle s’appuie sur les cellules spécifiques, les lymphocytes B et T. On les appelle lymphocytes parce qu’ils circulent majoritairement dans la lymphe. Ils sont fabriqués par la moëlle osseuse comme toutes les cellules immunitaires.
Les lymphocytes T se distinguent des B car ils passent par le thymus. Il s’agit d’un organe situé dans la partie haute du thorax. C’est un peu l’école des lymphocytes. On le trouve chez l’enfant mais chez les adultes, il régresse avant de disparaître après 40 ans !
Les lymphocytes T sont spécialisés. Ce sont eux qui lutteront contre des maladies spécifiques.
Ce sont des globules blancs dotés d’un super bazooka pour une maladie déterminée. L’ennui, c’est qu’ils sont aveugles.
A l’inverse le lymphocyte B distingue parfaitement les ennemis. Il est capable de tous les attaquer. Mais, comparé au lymphocyte T, il n’est doté que d’un simple canif. Quand, la crise est grave. On a besoin des costauds. On fait appel au lymphocyte T.
Mais il faut le prévenir. Par un jeu complexe de récepteurs, de protéines et d’anticorps, l’immunité adaptative se met en branle. Le lymphocyte T est prévenu de l’attaque et il prend les choses en main. C’est lui qui sonne la charge, entraînant dans son sillage des lymphocytes B, prêts à suivre le « pro ».
HLA, un système de communication unique à chacun
Ce qui détermine la qualité de la réponse immunitaire, c’est l’information qui circule entre les cellules immunitaires. Cette information est déterminée par ce que l’on appelle le système HLA.
HLA vient de l’anglais : human leukocyte antigen. Les scientifiques français disent « complexe majeur d'histocompatibilité ».
Derrière ces termes complexes, se cache une réalité simple. Les molécules HLA identifient les agresseurs et préviennent les cellules immunitaires du danger.
Chaque individu dispose d’un HLA propre. C’est votre clé d’identification immunitaire qui permet à votre organisme de séparer le soi et le non soi. C’est un élément déterminant de l’immunité.
Une immunité partagée entre les groupes humains dans le monde
Le plus étonnant dans cette histoire est que l’immunité est partagée entre les groupes humains. Certains groupes humains résistent bien à la malaria, d’autres à la grippe etc.
L’humanité tout entière ne pourrait jamais disparaître à cause d’une seule maladie.
Pourquoi donc, faudrait-il que tout le monde soit vacciné de la même manière ?
La conclusion de Michel Georget est sans appel : chaque individu est unique et les réactions à la vaccination sont diverses.
La seule manière intelligente d’aborder ce sujet est d’accorder la liberté vaccinale et de proposer à ceux qui le souhaitent une vaccination personnalisée et sous contrôle.
L’alternative du gouvernement ?
La prison pour les délinquants qui n’ont pas fait vacciner leurs enfants !
Vaccin contre la grippe, halte à l’esbrouffe !
On peut toujours débattre de savoir s’il faut faire vacciner ses enfants contre certaines maladies graves, comme la poliomyélite par exemple.
Certains vous diront que la maladie a disparu avant que la vaccination ne soit rendue obligatoire, ce qui est exact.
Pour autant, il suffit de parler avec ses grands-parents ou de voir des photos d’enfants atteints de cette maladie pour être pris par le doute. Et si mon enfant développait cette maladie ? Ce serait épouvantable ! Alors, on hésite.
Mais pour la grippe, il n’y a pas d’hésitation à avoir. Ce vaccin est inefficace et les autorités passent leur temps à mentir sur son sujet.
Lors du congrès de l’AIMSIB, l’un des orateurs, Pascal Raton nous en a fait la démonstration.
Son exposé s’appuie sur les faits suivants (2):
Le Ministère de la Santé, dans une communication officielle, affirme :
« Si la mortalité attribuée à la grippe a globalement diminué au cours de ces dernières décennies, la saison grippale 2014-2015 a été marquée par une surmortalité (18 300 décès supplémentaires), dont une partie peut être attribuée à la grippe. »
L’Institut de Veille Sanitaire, lui, estime que sur l’année 2014-2015, il y a eu 900 décès de la grippe.
Une autre institution le Cépidic, qui recense les avis de décès signés par les médecins, signale 300 décès pour cause de grippe.
La grippe cause t’elle 18 000, 900 ou 300 morts, sachant que les médecins mettent parfois « grippe » lorsqu’ils ne savent pas comment expliquer le décès d’un patient ?
La vraie réponse est que personne ne sait.
On peut juste dire que la grippe ne semble pas faire plus de morts qu’avant et que le taux de vaccination des populations par rapport au nombre de décès liés à la grippe ne change rien.
C’est une vaccination inopérante.
Ce n’est pas moi qui le dit, ni même Pascal Raton. C’est la Haute Autorité de Santé. L’institution dit :
« Les dernières méta-analyses tant chez les personnes âgées que chez les professionnels de santé ne démontrent pas d’efficacité de la vaccination, ce qui est interprété à tort comme une preuve d’inefficacité ».
Autre constat aux Etats-Unis : depuis les années 80, le nombre de morts de la grippe est resté stable. Le taux de vaccination, lui, est passé de 15 à 65%.
Tout est dit.
En revanche, il faut tout de même savoir qu’il existe des effets secondaires à cette vaccination :
• Entre 1% et 1 ‰ personnes souffre de symptômes légers : vertiges, troubles du sommeil…,
• D’autres ont des allergies graves, de l’urticaire ou du prurit.
• Les plus malchanceux (1/100 000) développe un syndrome de Guillain-Barré.
C’est très rare. Mais 1/100 000, cela fait 10 sur 1 million. Il y a de quoi remplir une salle de classe tous les ans avec le nombre de personnes vaccinées en France. Pour un vaccin officiellement inefficace, c’est cher payé.
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- Inscription : lun. 22 janv. 2018 13:43
Re: vaccins obligatoires en 2018
je pense que cela fait beaucoup d'argent..peut on faire confiance aux laboratoires farmaceutiques apres tous les scandales des années passées?
sont-ils derrière tout ca?
je ne souhaite pas que les petits soient les cobayes de l’industrie du medicament!
je suis aussi très perplexe sur ce genre de nouveauté en matière de santé
j' avoue que la confiance n'y est pas
affaire a suivre
sont-ils derrière tout ca?
je ne souhaite pas que les petits soient les cobayes de l’industrie du medicament!
je suis aussi très perplexe sur ce genre de nouveauté en matière de santé
j' avoue que la confiance n'y est pas
affaire a suivre
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- Inscription : lun. 1 août 2016 11:56
Re: vaccins obligatoires en 2018
bonjour
C'est le pharmacien du site :https://elixir-suedois.fr/ qui intervient:
les vaccins deja obligatoires:
Parmi les 11 vaccins obligatoires, 3 d’entre eux sont déjà obligatoires : diphtérie, tétanos et poliomyélite.
S’ajouteront l’année prochaine les vaccins contre l’haemophilius influenzae B, la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole, le méningocoque C et le pneumocoque.
rappel sur les obligations vaccinales en Europe:
lien:http://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pd ... 072017.pdf
on constate donc de fortes disparités d'un pays europeen a un autre! aucune obligation dans 15 pays!
quelles sont réellement les maladies en question:
L’haemophilus influenzae B est à l’origine de cas de méningite et de pneumonie.
La coqueluche est une maladie respiratoire, qui se propage très facilement, au simple contact de la salive.
L’hépatite B est une infection virale qui peut provoquer cirrhose et cancer du foie.
La rougeole est une maladie très contagieuse qui provoque une forte fièvre et une éruption cutanée. Elle peut aussi entraîner la cécité, une encéphalite ou la mort. Depuis 2008, huit enfants en ont été victimes.
Les oreillons sont une maladie très contagieuse provoquant un œdème douloureux du visage sous les oreilles, de la fièvre, des céphalées et des myalgies.
La rubéole est en général bénigne chez l’enfant mais l’infection pendant la grossesse peut provoquer la mort du fœtus. Elle peut aussi entraîner des anomalies cérébrales, cardiaques, oculaires et auriculaires.
Le méningocoque C est à l’origine d’une infection invasive très contagieuse, pouvant entraîner méningite, septicémie. 25 personnes en sont mortes entre 2011 et 2015, faute de vaccination.
Le pneumocoque peut engendrer pneumopathie, méningite, bactériémie fébrile, otite moyenne, sinusite et bronchite.
concernant la vaccination obligatoire en France, nous suivons a peu prés le même chemin qu'en Allemagne et Italie:
Dans ces 2 pays,ce dispositif s'étend à 12 vaccins : rougeole, polio, tétanos, diphtérie, hépatite B, rubéole, oreillons, coqueluche, varicelle, haemophilus influenzae de type B, méningites B et C.
Les parents qui n'auront pas appliqué la loi risqueront de lourdes amendes.
lien:https://lesprosdelapetiteenfance.fr/rou ... -en-italie
Ce qui a poussé le gouvernement italien à adopter de nouvelles mesures de prophylaxie, officiellement c’est avant tout la recrudescence de cas de rougeole. Une maladie virale qui peut avoir des conséquences très graves. Voire entraîner la mort. Sur le nombre total de cas recensés en Europe, depuis le mois de janvier, 43 % l’ont été en Italie. Or, jusqu’à présent les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la varicelle n’étaient que recommandés.
Désormais, outre ces vaccins, ceux contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et l’hémophilie de type B, seront obligatoires pour inscrire un enfant à la crèche ou à l’école maternelle. Si à l’âge de 6 ans, l’enfant n’est toujours pas vacciné, il pourra quand même être inscrit à l’école primaire, d’autant qu’elle est obligatoire. Mais ses parents devront s’acquitter d’une amende pouvant atteindre 3500 euros.
Une clause d'exemption a l'étude?
Une "clause d'exemption" pour les anti-vaccins ?
la ministre de la Santé a annoncé son intention de créer une "clause d’exemption", afin de permettre aux parents qui refusent de faire vacciner leur enfant de se soustraire à cette obligation : "Nous travaillons sur une clause d’exemption, c’est-à-dire si vraiment des familles s’opposent absolument, nous essaierons de leur permettre d’éviter la vaccination. C’est compliqué juridiquement".
combien d'injections pour les vaccins obligatoires?:
Un seul et même vaccin suffit pour la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’hépatite B et l’Haemophius influenzae,
Une injection supplémentaire sera nécessaire pour la rougeole, les oreillons et la rubéole (à 12 et 16 mois),
Une injection contre le pneumocoque (à deux, quatre et 11 mois) et
Une injection contre le méningocoque C (à cinq et 12 mois).
le pharmacien
C'est le pharmacien du site :https://elixir-suedois.fr/ qui intervient:
les vaccins deja obligatoires:
Parmi les 11 vaccins obligatoires, 3 d’entre eux sont déjà obligatoires : diphtérie, tétanos et poliomyélite.
S’ajouteront l’année prochaine les vaccins contre l’haemophilius influenzae B, la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole, le méningocoque C et le pneumocoque.
rappel sur les obligations vaccinales en Europe:
lien:http://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pd ... 072017.pdf
on constate donc de fortes disparités d'un pays europeen a un autre! aucune obligation dans 15 pays!
quelles sont réellement les maladies en question:
L’haemophilus influenzae B est à l’origine de cas de méningite et de pneumonie.
La coqueluche est une maladie respiratoire, qui se propage très facilement, au simple contact de la salive.
L’hépatite B est une infection virale qui peut provoquer cirrhose et cancer du foie.
La rougeole est une maladie très contagieuse qui provoque une forte fièvre et une éruption cutanée. Elle peut aussi entraîner la cécité, une encéphalite ou la mort. Depuis 2008, huit enfants en ont été victimes.
Les oreillons sont une maladie très contagieuse provoquant un œdème douloureux du visage sous les oreilles, de la fièvre, des céphalées et des myalgies.
La rubéole est en général bénigne chez l’enfant mais l’infection pendant la grossesse peut provoquer la mort du fœtus. Elle peut aussi entraîner des anomalies cérébrales, cardiaques, oculaires et auriculaires.
Le méningocoque C est à l’origine d’une infection invasive très contagieuse, pouvant entraîner méningite, septicémie. 25 personnes en sont mortes entre 2011 et 2015, faute de vaccination.
Le pneumocoque peut engendrer pneumopathie, méningite, bactériémie fébrile, otite moyenne, sinusite et bronchite.
concernant la vaccination obligatoire en France, nous suivons a peu prés le même chemin qu'en Allemagne et Italie:
Dans ces 2 pays,ce dispositif s'étend à 12 vaccins : rougeole, polio, tétanos, diphtérie, hépatite B, rubéole, oreillons, coqueluche, varicelle, haemophilus influenzae de type B, méningites B et C.
Les parents qui n'auront pas appliqué la loi risqueront de lourdes amendes.
lien:https://lesprosdelapetiteenfance.fr/rou ... -en-italie
Ce qui a poussé le gouvernement italien à adopter de nouvelles mesures de prophylaxie, officiellement c’est avant tout la recrudescence de cas de rougeole. Une maladie virale qui peut avoir des conséquences très graves. Voire entraîner la mort. Sur le nombre total de cas recensés en Europe, depuis le mois de janvier, 43 % l’ont été en Italie. Or, jusqu’à présent les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la varicelle n’étaient que recommandés.
Désormais, outre ces vaccins, ceux contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et l’hémophilie de type B, seront obligatoires pour inscrire un enfant à la crèche ou à l’école maternelle. Si à l’âge de 6 ans, l’enfant n’est toujours pas vacciné, il pourra quand même être inscrit à l’école primaire, d’autant qu’elle est obligatoire. Mais ses parents devront s’acquitter d’une amende pouvant atteindre 3500 euros.
Une clause d'exemption a l'étude?
Une "clause d'exemption" pour les anti-vaccins ?
la ministre de la Santé a annoncé son intention de créer une "clause d’exemption", afin de permettre aux parents qui refusent de faire vacciner leur enfant de se soustraire à cette obligation : "Nous travaillons sur une clause d’exemption, c’est-à-dire si vraiment des familles s’opposent absolument, nous essaierons de leur permettre d’éviter la vaccination. C’est compliqué juridiquement".
combien d'injections pour les vaccins obligatoires?:
Un seul et même vaccin suffit pour la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’hépatite B et l’Haemophius influenzae,
Une injection supplémentaire sera nécessaire pour la rougeole, les oreillons et la rubéole (à 12 et 16 mois),
Une injection contre le pneumocoque (à deux, quatre et 11 mois) et
Une injection contre le méningocoque C (à cinq et 12 mois).
le pharmacien
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Re: vaccins obligatoires en 2018
C'est le pharmacien du site :https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
L'aluminium est un des adjuvants très contesté dans les vaccins:
Mais qu’est-ce que l’aluminium ?
C’est un métal naturellement présent dans l’environnement, dans les sols et dans les eaux. On l’utilise aussi bien dans l’industrie agroalimentaire (conservateurs, colorants, additifs, emballages…), que dans l’industrie cosmétique (colorants capillaires, déodorants…), l’industrie pharmaceutique (adjuvants de vaccins, antiacides…), le traitement des eaux, ou encore dans le bâtiment et les transports.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) explique que, "chez l’homme, les principales voies d’exposition chronique à l’aluminium sont les voies orale (alimentation, eau, médicaments à prise orale), cutanée (cosmétique et anti-transpirants) et respiratoire (inhalation de poussières)".
La substance est-elle toxique ?
Des effets toxiques ont été observés dans "des situations de fortes expositions chroniques", comme c’est le cas des patients insuffisants rénaux dialysés ou les personnes professionnellement exposées. Ses effets portent essentiellement sur le système nerveux central (encéphalopathies, troubles psychomoteurs) et sur le tissu osseux. Une étude publiée en 2016 a également montré un lien entre l’exposition par voie cutanée, l'application de déodorant, et le risque de cancer du sein. Mais ces résultats, qui n’ont pas été obtenus sur l’homme, doivent être confirmés.
Cependant, "à l’heure actuelle, aucune étude n’a mis en évidence de tels effets dans la population générale, exposée à travers l’alimentation courante ou les produits de santé", relève l’Anses.
Et dans les vaccins ?
L’aluminium est un adjuvant utilisé dans les vaccins qui permet de stimuler la production des anticorps et donc une réponse immunitaire.
C’est le plus utilisé aujourd’hui car il est considéré très efficace par la classe scientifique, comme le souligne Annick Guimezanes, immunologiste et chercheuse à l’Inserm.
Il est pourtant dans la ligne de mire d’associations qui réclament des vaccins sans aluminium. Comme l’explique le Pr Romain Gherardi dans son livre Toxic Story (éd. Actes Sud), l’adjuvant serait responsable de maladies graves comme la myofasciite à macrophages, une maladie neurologique.
Sans preuves réelles aujourd’hui...
le pharmacien
L'aluminium est un des adjuvants très contesté dans les vaccins:
Mais qu’est-ce que l’aluminium ?
C’est un métal naturellement présent dans l’environnement, dans les sols et dans les eaux. On l’utilise aussi bien dans l’industrie agroalimentaire (conservateurs, colorants, additifs, emballages…), que dans l’industrie cosmétique (colorants capillaires, déodorants…), l’industrie pharmaceutique (adjuvants de vaccins, antiacides…), le traitement des eaux, ou encore dans le bâtiment et les transports.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) explique que, "chez l’homme, les principales voies d’exposition chronique à l’aluminium sont les voies orale (alimentation, eau, médicaments à prise orale), cutanée (cosmétique et anti-transpirants) et respiratoire (inhalation de poussières)".
La substance est-elle toxique ?
Des effets toxiques ont été observés dans "des situations de fortes expositions chroniques", comme c’est le cas des patients insuffisants rénaux dialysés ou les personnes professionnellement exposées. Ses effets portent essentiellement sur le système nerveux central (encéphalopathies, troubles psychomoteurs) et sur le tissu osseux. Une étude publiée en 2016 a également montré un lien entre l’exposition par voie cutanée, l'application de déodorant, et le risque de cancer du sein. Mais ces résultats, qui n’ont pas été obtenus sur l’homme, doivent être confirmés.
Cependant, "à l’heure actuelle, aucune étude n’a mis en évidence de tels effets dans la population générale, exposée à travers l’alimentation courante ou les produits de santé", relève l’Anses.
Et dans les vaccins ?
L’aluminium est un adjuvant utilisé dans les vaccins qui permet de stimuler la production des anticorps et donc une réponse immunitaire.
C’est le plus utilisé aujourd’hui car il est considéré très efficace par la classe scientifique, comme le souligne Annick Guimezanes, immunologiste et chercheuse à l’Inserm.
Il est pourtant dans la ligne de mire d’associations qui réclament des vaccins sans aluminium. Comme l’explique le Pr Romain Gherardi dans son livre Toxic Story (éd. Actes Sud), l’adjuvant serait responsable de maladies graves comme la myofasciite à macrophages, une maladie neurologique.
Sans preuves réelles aujourd’hui...
le pharmacien
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Re: vaccins obligatoires en 2018
si j' ai bien compris,l' aluminiun ne sert qu'a augmenter l' effet du vaccin,
pourquoi pas dans le principe, mais bon, rien n'indique sil est toxique ou pas finalement?
n'existe il pas d'autres adjuvants moins contreversés?
pourquoi pas dans le principe, mais bon, rien n'indique sil est toxique ou pas finalement?
n'existe il pas d'autres adjuvants moins contreversés?
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Re: vaccins obligatoires en 2018
bonjour
C'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
Les sels d’aluminium sont reconnus pour leur efficacité
Au regard des dizaines de milliards de doses de vaccins injectées depuis plus de 80 ans dans le monde, les sels d'aluminium bénéficient d'une reconnaissance considérable en termes d'efficacité et de tolérance.
Les sels d’aluminium dans la plupart des vaccins
Utilisés tout d'abord pour les anatoxines tétaniques et diphtériques, les adjuvants ont ensuite été introduits dans la plupart des autres vaccins : coqueluche, poliomyélite inactivé, hépatites A et B, Haemophilus influenzae, méningocoque, papillomavirus, etc.
Un adjuvant qui favorise la réponse immunitaire
leur mécanisme d'action repose sur le fait qu'ils permettent un relargage progressif de l'antigène vaccinal (ce que les spécialistes appellent l'effet dépôt). Par ailleurs, les sels d'aluminium induisent la différenciation des macrophages en cellules dendritiques, et favorisent la réponse immunitaire et la production d'anticorps. Une dernière précision : le site d'injection doit être de préférence intramusculaire, car la réponse immunitaire et la tolérance locale sont meilleures que par la voie sous-cutanée.
source: académie nationale de médecine, 2012
D’après l' ANSM, les vaccins sont "surs":
lien ANSM: http://ansm.sante.fr/S-informer/Communi ... Communique
Neanmois, l' ANSM demande que les études sur les effets de la présence d'aluminium dans les vaccins soient poursuivies...
lien: http://www.20minutes.fr/sante/2137827-2 ... fuse-payer
lien VIDAL: https://www.vidal.fr/actualites/22146/a ... _adjuvant/
En conclusion, à la date du 23 janv 2018, la contre verse sur les effets de la présence d'aluminium dans les vaccins est loin d’être terminée..
le pharmacien
C'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
Les sels d’aluminium sont reconnus pour leur efficacité
Au regard des dizaines de milliards de doses de vaccins injectées depuis plus de 80 ans dans le monde, les sels d'aluminium bénéficient d'une reconnaissance considérable en termes d'efficacité et de tolérance.
Les sels d’aluminium dans la plupart des vaccins
Utilisés tout d'abord pour les anatoxines tétaniques et diphtériques, les adjuvants ont ensuite été introduits dans la plupart des autres vaccins : coqueluche, poliomyélite inactivé, hépatites A et B, Haemophilus influenzae, méningocoque, papillomavirus, etc.
Un adjuvant qui favorise la réponse immunitaire
leur mécanisme d'action repose sur le fait qu'ils permettent un relargage progressif de l'antigène vaccinal (ce que les spécialistes appellent l'effet dépôt). Par ailleurs, les sels d'aluminium induisent la différenciation des macrophages en cellules dendritiques, et favorisent la réponse immunitaire et la production d'anticorps. Une dernière précision : le site d'injection doit être de préférence intramusculaire, car la réponse immunitaire et la tolérance locale sont meilleures que par la voie sous-cutanée.
source: académie nationale de médecine, 2012
D’après l' ANSM, les vaccins sont "surs":
lien ANSM: http://ansm.sante.fr/S-informer/Communi ... Communique
Neanmois, l' ANSM demande que les études sur les effets de la présence d'aluminium dans les vaccins soient poursuivies...
lien: http://www.20minutes.fr/sante/2137827-2 ... fuse-payer
lien VIDAL: https://www.vidal.fr/actualites/22146/a ... _adjuvant/
En conclusion, à la date du 23 janv 2018, la contre verse sur les effets de la présence d'aluminium dans les vaccins est loin d’être terminée..
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Re: vaccins obligatoires en 2018
c'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient:
Aluminium dans les vaccins : l’Académie nationale de pharmacie fait le point
"L’Académie nationale de pharmacie vient de publier un rapport très documenté pour faire le point sur l’impact des adjuvants aluminiques contenus dans les vaccins.
En effet, certaines personnes rendent responsables ces dérivés de l’aluminium dans la survenue d’une myofasciite à macrophages. Cette symptomatologie complexe se caractérise par des myalgies, des arthralgies, de la fatigue et troubles cognitifs, et on a observé chez les personnes qui en sont atteintes des dépôts d’aluminium dans le tissu musculaire (après biopsie).
Toutefois, la présence d’aluminium au point d’injection et l’apparition d’une myofasciite à macrophages ne suffisent pas pour incriminer les adjuvants aluminiques vaccinaux. Afin d’y voir plus clair dans ce débat, l’Académie nationale de pharmacie a réalisé une revue minutieuse de toute la littérature sur le sujet.
Aujourd’hui, 445 cas de myofasciite ont été notifiés aux centres de pharmacovigilance, alors que 160 millions de doses de vaccins contenant un adjuvant aluminique ont été administrées sur la même période. Les académiciens observent que « d’une manière inexpliquée, les cas de myofasciite à macrophages n’ont été décrits qu’à partir de 1990, soit une soixantaine d’années après les débuts de l’utilisation de l’aluminium comme adjuvant » et que, curieusement, le phénomène ne touche presque que la France (qui totalise plus de 95 % des cas).
Par ailleurs, la majorité des cas sont survenus entre 1994 et 2002, puis il y a eu un essoufflement du phénomène : depuis 2012, un seul nouveau cas a été notifié. Ainsi, si l’académie reconnaît que certaines manifestations cliniques sévères ont pu être associées à des injections vaccinales, elle rappelle qu’« aucun lien de causalité n’a pu être établi, à ce jour, avec les adjuvants aluminiques, d’autant que ces manifestations paraissent limitées dans le temps (non identifiées avant 1990 et semblant en extinction depuis 2012) et dans l’espace (la France a cumulé la quasi-totalité des cas décrits dans le monde) ».
Toutefois, l’académie préconise de réaliser des travaux expérimentaux rigoureux pour tenter d’évaluer la réalité de la responsabilité des adjuvants aluminiques dans les manifestations cliniques observées chez certains patients puisque, à ce jour, aucune étude épidémiologique n’a pu être conduite sans biais."
Aluminium dans les vaccins : l’Académie nationale de pharmacie fait le point
"L’Académie nationale de pharmacie vient de publier un rapport très documenté pour faire le point sur l’impact des adjuvants aluminiques contenus dans les vaccins.
En effet, certaines personnes rendent responsables ces dérivés de l’aluminium dans la survenue d’une myofasciite à macrophages. Cette symptomatologie complexe se caractérise par des myalgies, des arthralgies, de la fatigue et troubles cognitifs, et on a observé chez les personnes qui en sont atteintes des dépôts d’aluminium dans le tissu musculaire (après biopsie).
Toutefois, la présence d’aluminium au point d’injection et l’apparition d’une myofasciite à macrophages ne suffisent pas pour incriminer les adjuvants aluminiques vaccinaux. Afin d’y voir plus clair dans ce débat, l’Académie nationale de pharmacie a réalisé une revue minutieuse de toute la littérature sur le sujet.
Aujourd’hui, 445 cas de myofasciite ont été notifiés aux centres de pharmacovigilance, alors que 160 millions de doses de vaccins contenant un adjuvant aluminique ont été administrées sur la même période. Les académiciens observent que « d’une manière inexpliquée, les cas de myofasciite à macrophages n’ont été décrits qu’à partir de 1990, soit une soixantaine d’années après les débuts de l’utilisation de l’aluminium comme adjuvant » et que, curieusement, le phénomène ne touche presque que la France (qui totalise plus de 95 % des cas).
Par ailleurs, la majorité des cas sont survenus entre 1994 et 2002, puis il y a eu un essoufflement du phénomène : depuis 2012, un seul nouveau cas a été notifié. Ainsi, si l’académie reconnaît que certaines manifestations cliniques sévères ont pu être associées à des injections vaccinales, elle rappelle qu’« aucun lien de causalité n’a pu être établi, à ce jour, avec les adjuvants aluminiques, d’autant que ces manifestations paraissent limitées dans le temps (non identifiées avant 1990 et semblant en extinction depuis 2012) et dans l’espace (la France a cumulé la quasi-totalité des cas décrits dans le monde) ».
Toutefois, l’académie préconise de réaliser des travaux expérimentaux rigoureux pour tenter d’évaluer la réalité de la responsabilité des adjuvants aluminiques dans les manifestations cliniques observées chez certains patients puisque, à ce jour, aucune étude épidémiologique n’a pu être conduite sans biais."
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Re: vaccins obligatoires en 2018
bonjour
c'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
Obligation vaccinale : parution du décret d’application
Décret vaccination, vaccination, obligation vaccinale, vaccin obligatoire, vaccin DR
Le décret d’application relatif à la vaccination obligatoire a paru au Journal officiel du 26 janvier 2018. Il entrera en vigueur le 27 janvier.
Outre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie, les vaccins contre la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque et Hæmophilus influenzæ B sont donc désormais obligatoires pour les enfants nés à compter du 1er janvier 2018.
Le décret précise les modalités de mise en œuvre des conditions de réalisation des nouvelles obligations vaccinales pour les jeunes enfants et les modalités de justification de la réalisation de ces obligations pour l’entrée ou le maintien en collectivités d’enfants.
Ainsi, la déclaration des vaccinations sera effectuée sur le carnet de santé. En l’absence de carnet de santé, un document sera remis par le professionnel de santé réalisant la vaccination.
L’admission du mineur en collectivité d’enfants (établissements autorisés, écoles, accueil par un assistant maternel agréé, pouponnières, etc) est subordonnée à la présentation du carnet de santé ou de tout autre document certifiant de la vaccination.
« Lorsqu’une ou plusieurs vaccinations obligatoires font défaut, le mineur est provisoirement admis », précise le décret.
Le maintien du mineur dans la collectivité n’est alors possible que si les vaccinations faisant défaut sont effectuées dans les trois mois de l’admission provisoire.
le pharmacien
c'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
Obligation vaccinale : parution du décret d’application
Décret vaccination, vaccination, obligation vaccinale, vaccin obligatoire, vaccin DR
Le décret d’application relatif à la vaccination obligatoire a paru au Journal officiel du 26 janvier 2018. Il entrera en vigueur le 27 janvier.
Outre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie, les vaccins contre la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque et Hæmophilus influenzæ B sont donc désormais obligatoires pour les enfants nés à compter du 1er janvier 2018.
Le décret précise les modalités de mise en œuvre des conditions de réalisation des nouvelles obligations vaccinales pour les jeunes enfants et les modalités de justification de la réalisation de ces obligations pour l’entrée ou le maintien en collectivités d’enfants.
Ainsi, la déclaration des vaccinations sera effectuée sur le carnet de santé. En l’absence de carnet de santé, un document sera remis par le professionnel de santé réalisant la vaccination.
L’admission du mineur en collectivité d’enfants (établissements autorisés, écoles, accueil par un assistant maternel agréé, pouponnières, etc) est subordonnée à la présentation du carnet de santé ou de tout autre document certifiant de la vaccination.
« Lorsqu’une ou plusieurs vaccinations obligatoires font défaut, le mineur est provisoirement admis », précise le décret.
Le maintien du mineur dans la collectivité n’est alors possible que si les vaccinations faisant défaut sont effectuées dans les trois mois de l’admission provisoire.
le pharmacien
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Re: vaccins obligatoires en 2018
Bonjour
C'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
Nouveau calendrier vaccinal 2018:
Le ministère de la Santé a rendu public le calendrier vaccinal version 2018.
La principale nouveauté porte sur l’intégration des 8 vaccinations désormais obligatoires en sus de la diphtérie, du tétanos et de la poliomyélite, pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, dans les 18 premiers mois de leur vie.
Le calendrier prend également en compte les nouveaux vaccins qui seront disponibles cette année : l’hexavalent Vaxelis et les tétravalents antigrippaux Influvac Tetra, Vaxigrip Tetra et Fluarix Tetra.
Le calendrier précise par ailleurs que le vaccin rougeoleux Rouvax ne sera plus disponible à partir d’avril 2018. Le schéma de vaccination des nourrissons âgés de 6 à 8 mois révolus dans un contexte de post-exposition ou de voyage en zone d’endémie reposera alors sur l’injection - hors AMM - d’une dose de vaccin trivalent rougeole-oreillons-rubéole dans les 72 heures qui suivent le contact présumé.
lien calendrier vaccinal: http://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pd ... s_2018.pdf
le pharmacien
C'est le pharmacien du site: https://elixir-suedois.fr/ qui intervient
Nouveau calendrier vaccinal 2018:
Le ministère de la Santé a rendu public le calendrier vaccinal version 2018.
La principale nouveauté porte sur l’intégration des 8 vaccinations désormais obligatoires en sus de la diphtérie, du tétanos et de la poliomyélite, pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, dans les 18 premiers mois de leur vie.
Le calendrier prend également en compte les nouveaux vaccins qui seront disponibles cette année : l’hexavalent Vaxelis et les tétravalents antigrippaux Influvac Tetra, Vaxigrip Tetra et Fluarix Tetra.
Le calendrier précise par ailleurs que le vaccin rougeoleux Rouvax ne sera plus disponible à partir d’avril 2018. Le schéma de vaccination des nourrissons âgés de 6 à 8 mois révolus dans un contexte de post-exposition ou de voyage en zone d’endémie reposera alors sur l’injection - hors AMM - d’une dose de vaccin trivalent rougeole-oreillons-rubéole dans les 72 heures qui suivent le contact présumé.
lien calendrier vaccinal: http://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pd ... s_2018.pdf
le pharmacien
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