•    Soulage les malaises ou les spasmes gastro-intestinaux, les ballonnements et les flatulences.
•    Aérophagie, menstruations douloureuses, aménorrhée, fatigue (y compris asthénie)
•    Favorise la digestion.
•    Utile contre la fatigue nerveuse, l’asthénie, la grippe, les troubles du sommeil.
•    Vertiges et migraines
•    Traite la toux, la bronchite, le rhume les douleurs rhumatismales (usage externe)

Un peu d’histoire concernant l’utilisation de l’angélique :
L’Angélique est citée pour la première fois au 14ème siècle, par Matthaeus Sylvaticus. On peut lire dans le “Tabernae montanus” écrit en 1588: «L’Angélique, avec ses vertus et ses qualités merveilleuses, est une plante qui semble avoir été donnée au genre humain par le Saint-Esprit ou les bons anges». Matthaeus Sylvaticus recommandait d’utiliser la plante contre «l’air empesté et pestilentiel» des hôpitaux. Il l’appelait aussi la «racine à poison», un remède au cas où quelqu’un aurait mangé ou bu du poison.

Les médecins de la Renaissance regardaient l’angélique officinale comme «céphalique et propre à récréer le cœur». Les médecins de la Renaissance appellent sa racine «racine du Saint-Esprit» en raison des «grandes et divines propriétés» qu’elle a contre de graves maladies.

Paracelse (alchimiste, astrologue et médecin suisse, 1493-1541) raconte qu’elle fut un «médicament merveilleux» à Milan où sévissait une épidémie de peste en 1510.

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